Les nuits à la station patagonienne étaient glaciales, chargées de silence et d’une vie bleutée venue d’étoiles trop proches. Sayen se tenait quotidiennement devant les fenêtres panoramiques du laboratoire, empruntant la voie de la voûte divin comme si elle s’adressait directement à lui. Chaque foule avait sa tonalité, sa régularité, https://arthurndqzr.blogdigy.com/l-éclipse-intérieure-51415940