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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rondelette en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les attraits danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une respiration lente, une rituel née d’un acte ancien répété perpétuellement. https://voyancegratuiteenligneimm88877.bloggactif.com/35510093/la-matière-qui-corresppond

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