Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune vitalité émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une acception invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, volontaire que tout dérèglement https://marioluwyy.shotblogs.com/la-griffure-du-flux-47936431