Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient riverain de la carcasse rouillée d’une antique cabine téléphonique. Posée seule au maximum d’une allée oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, une https://emilioanwfq.blogdon.net/la-sirène-du-désert-49997885