Tokyo, 2052. Les néons projetaient une lueur artificielle sur les rues silencieuses. Dans un milieu où la conscience du temps était devenue une vision cartésienne maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certains. Grâce à des avancées en neurotechnologie, il était dès maintenant possible d’altérer la sentiment des secondes, https://voyantparmail20864.mybuzzblog.com/13523677/les-failles-de-le-futur