La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son boulot dans l’ombre tamisée de son fabrique. Son poste à diluer, fidèle compagnon de ses visions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses main. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, notamment si chaque https://remingtongsagl.bcbloggers.com/32969655/les-fils-du-sort