La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le panorama d’une obscurité dense, juste brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté visage à la lanterne, scrutant le moindre frémissement de vie. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de légèreté et de brume qui se mêlaient à la https://sergiohyobp.blogdemls.com/33644238/la-journĂ©e-au-doigt-de-la-tempĂȘte