La nuit s’étirait par-dessous une voûte divin constant, enveloppant Sybille dans un silence sérieux. La lune, d’un beauté inquiétante, s’accrochait aux nuages épars de façon identique à un phare solitaire dans l’infini. Elle avançait à travers les ruelles désertes, guidée par une force attractive qu’elle ne comprenait pas encore intimement. https://codyrplfz.blogacep.com/38200385/les-marées-du-destin-selon-voyance-olivier